Mais OpenShot 1.0.0 aussi sur Fedora 12

Il s’agit d’une petite nouvelle ou plutot d’une petite précision. En effet, je n’ai pas précisé qu’OpenShot est disponible pour Ubuntu 9.10 Karmic Koala de deux manières : en .deb et dans le PPA.

Un membre de la communauté des utilisateurs d’ Openshot Thalaric récidive et c’est à peine sortie qu’elle est déjà disponible pour Fedora 12 Constantine.

Vous pouvez la trouvez à cet endroit et l’intégralité de la nouvelle ici.

Sur la manière d’installer Openshot, vous trouverez plus d’informations sur Lprod et Ubuntu. Si vous avez déjà réussie à installer Openshot sur Fedora, vous pouvez nous en faire part soit sur le forum soit en modifiant la documentation de Lprod. Par avance, Merci.

M’enfin elle est là la Finale : la version 1.0.0. !

C’est avec une joie immense que je vous annonce l’arrivée tant attendue de la première version stable d’Openshot : la version 1.0.0. Attendue initialement pour Noël avec le manuel, et bien qu’étant en Bêta,  elle a été repoussée afin de vous offrir la version la plus stable que nous ayons produit à ce jour et c’est aujourd’hui qu’elle est arrivée. Lire la suite « M’enfin elle est là la Finale : la version 1.0.0. ! »

VLMC : l’éditeur vidéo de l’équipe de vlc

Bien qu’étant le portail francophone du projet OpenShot, ce site a aussi pour vocation de parler multimédia et la naissance de VideoLan Movie Creator rentre dans cette catégorie.  Présenté aux VideoLan  Dev Days’09  du 18 décembre à l’Epitech à Paris, l’équipe deVideoLan a crée la surprise en présentant son nouveau projet en tant qu’éditeur vidéo, multiplateforme,( Linux, Windows, MacOSX), d’usage semi-professionnel, simple et ergonomique. Il est codé principalement en Qt et C++ même s’il utilisera un peu de C. Son équipe est de 7 développeurs ce qui laisse inauguré un développement rapide même si le projet a déjà commencé début 2009 et un logiciel de qualité. La première version est attendue pour février.

Ce logiciel rejoindra le cercle fermé des   éditeurs vidéos (kdenlive, Openshot)  gérant les formats hautes définitions. Il est composé d’un chutier comportant la liste des rushes,  d ‘une timeline  (gérant jusqu’à 64 pistes audios et vidéos)  et de deux écrans (avec possibilité de faire du montage sur deux moniteurs), des titres. Il est extensible par l’ajout de plug-ins pour les transitions et les effets 2D/3D.

VLMC-Interface

A terme, il sera capable de gérer un projet de son importation (gestion des rushes, de la création de preset (dont la HD y compris full HD), du montage proprement dit, et de l’exportation dans tous les formats gérés par la libvlc, puisqu’il se base dessus.

On peut récuperer les sources de cette manière cependant peut de personnes ont réussi à l’installer :

git clone git://github.com/VLMC/vlmc.git

L’équipe de VLMC a ouvert une chaine sur youtube avec une vidéo montrant les principales fonctions de VLMC est disponible ici :

Le fait que l’équipe de VLC rentre dans le monde très fermé des éditeurs vidéo est une bonne chose car cela inaugure que du bon même si on ne peut pas encore l’essayer. Un logiciel de qualité avec une autre vision des choses est toujours une bonne chose surtout en vidéo. J’ai hâte d’être en 2010.

Le site du projet est ici : VLMC

Et avec un peu d’aide, ça n’irait pas mieux : OpenShot le manuel

Je suis fier de vous annoncer (avec un peu de retard à cause de fêtes fortement arrosées ! ) la sortie du manuel officiel d’OpenShot Video Editor non seulement en anglais mais aussi en français.  A vous qui vous êtes toujours demander  » Mais comment utilisez ce logiciel, n’y a-t-il rien de disponible ?  »  Lire la suite « Et avec un peu d’aide, ça n’irait pas mieux : OpenShot le manuel »

Et pourtant ce n’est pas le printemps : Openshotusers est né !

Je l’ai demandé, Jonathan l’a accepté, vous l’avez rêvé,  Andy la réalisé.

The French Openshot Team

Le printemps est synonyme de naissance et de renouveau. Et pourtant ce n’est pas le printemps mais on pourrait presque s’y croire vu que depuis quelques temps on assiste à une floraison de sites sur Openshot. Lire la suite « Et pourtant ce n’est pas le printemps : Openshotusers est né ! »

Présentation

Bonjour et bienvenue sur mon blog qui, je l’espère, vous plaira. Vous allez me dire : Encore un nouveau dans la blogosphère linuxienne. Mais de quoi va-t-il donc bien parler ?

Simplement, nous parlerons de mes passions et de mes envies.

Mais quelles sont-elles ?

Ici, nous parlerons logiciels libres, Linux avec en tête d’affiche Ubuntu, ma distribution principale mais il y aura aussi des nouvelles, des astuces, des tutoriels, des découvertes de logiciels dans tous les domaines même si la vidéo est mon domaine de prédilection. Ce n’est pas tout, nous parlerons un peu de programmation (en PyGTK et en XML) et beaucoup  d’un projet auquel je participe, là aussi dans la vidéo puisqu’il s’agit d’un logiciel de montage vidéo non-linéaire : OpenShot Video Editor. D’ailleurs, ce blog se veut aussi être la passerelle francophone d’OpenShot.Bref, de mon parcours dans le monde merveilleux du libre que je me ferai une joie de vous faire découvrir puisqu’il n’y a pas que des systèmes propriétaires fermés en informatique. On peut presque tout réaliser en utilisant non seulement des logiciels Libres mais aussi sur Linux. Après tout, Firefox, Thunderbird, The Gimp ou bien Openoffice sont originaires  de la banquise avant d’aller s’installer dans d’autres contrées lointaines. Mais ce n’est pas tout car je dispose d’autres facettes tel que mon coté geek, et en plus geek linuxien, ça va donner.

Mais qu’est-ce qu’un  geek ?

Être geek signifie tout simplement aimer le Hardware. Mais le hardware qu’est-ce que c’est me direz-vous ? C’est avoir un matériel de base et lui adjuger des capacités supplémentaires. Et là aussi Linux vient à la rescousse car si certains matériels sont fermés, de peur de mettre l’avenir du monde en danger, d’autres au contraire l’ouvrent et font appel à des communautés de programmeurs et de bidouilleurs afin d’augmenter, exponentiellement parfois, les capacités de certains matériels, des sociétés comme Linksys ou Netgear font appel à ces communautés qui offrent ce qu’aucune société ne peut s’offrir, un réservoir de connaissances, de tests et de fonctions améliorées. Aussi, comme vous pouvez vous en doutez, je choisis mon hardware (matériel) de telle manière qu’il puisse fonctionner avec un Linux à la place du système originel et de décupler ainsi ses capacités. Récemment j’ai d’ailleurs changer toutes mes configurations. Je suis passé d’un monocore au dernier quadcore d’ Intel. Mais ça c’est une autre histoire.

Comment en être venu à Linux ?

Comme beaucoup de choses c’est par hasard que tout à commencer. J’ai appris à l’école l’informatique, au début puisqu’il n’y avait pas de beaux environnements mais juste un fenêtre noire et sur des machines qu’un fabriquant de Redmond   vendait à l’époque sous le nom de Windows 95. Déconnecté du monde informatique pendant de nombreuses années, c’est à noël 2002 que j’ai décidé de d’investir dans un micro-ordinateur de marque HP, le pavillon HP483.fr. N’ayant pas de connaissances informatiques, je me suis mis à éplucher les revues spécialisées notamment SVM le mag que je prends toujours en format pocket et à lire énormément tout ce que je pouvais trouver . Non seulement j’ai appris à bien me servir de Windows XP, pour ne pas le cité mais j’y ai découvert un autre système d’exploitation en Mars 2005 qui tenait sur une clé USB : Linux. Intrigué, je suis rapidement tombé sur la Kaella, une distribution francophone dérivée de Knoppix, elle-même dérivée de Debian. Je faisais mon entrée fracassante dans le monde du libre et de Linux. En fait, ce n’est pas tout à fait vrai puisque mon amour pour la photographie faisait que j’utilisais The Gimp et que je me servais souvent de la documentation de ce superbe site qu’est Framasoft sans réellement en mesurer l’impact. Ce n’est que quand j’ai approché la Kaella que j’ai du me renseigner sur ce système d’exploitation avant de l’essayer et de découvrir Linux. Entre temps, j’avais commencé « mon évolution hardware » puisque je commençais à modifier mon HP en lui rajoutant un nouveau Disque Dur, une barrette mémoire, un graveur de DVD à la place du graveur de CDROM. C’est à la fin de l’année 2005 que j’ai installé la dernière version de cette distribution avec laquelle j’avais hésité avec une jeune débutante à l’époque Ubuntu Breeze Badger, le fait de débuter avec un système totalement en français bascula mon choix en faveur de la Kaella. Cette distribution étant plutôt faite pour dépanner un système et offrir une approche ludique de découvrir cet environnement auquel je me suis tourné, j’ai essayé « un canard pimpant » que j’ai aussitôt adopté (ndlr Dapper Drake pour les intimes) et gardé. Depuis je n’ai pas lâché Linux, étant un système si passionnant et intéressant, avec des hauts et des bas (changé de système d’exploitation et d’habitude n’est pas une chose aisée mais à force de persévérance, on finit par y arriver même si ce dernier est d’une complexité puisque j’en apprend encore tous les jours.

Mais pourquoi participer à un projet et pourquoi OpenShot en particulier ?

Il y a longtemps que je voulais franchir une nouvelle étape en m’investissant plus sérieusement dans le libre,chose faite depuis la mis-juin de cette année . Là aussi le hasard frappa à ma porte. J’ai une manie que j’ai depuis presque le début de windows et que j’ai gardé depuis, et encore plus quand j’ai changé de système d’exploitation, c’est une recherche perpétuelle de nouveau logiciels me plaisant et répondant à mes besoins qui s’est ensuite déplacée vers la recherche de la meilleur distribution (pour moi car en fait il n’y en a  pas) puis je l’ai porté vers un autre domaine qui me fascine au plus au point, la programmation dont la complexité freine cette manie sans l’anéantir toutes fois. Pour en revenir à nos moutons si je peux le dire, il y avait longtemps que je n’étais pas allé sur Softpédia et là je tombe non seulement sur un mais deux logiciels de montages vidéos. C’est assez rare un alors deux cela a aiguisé ma curiosité. Si le deuxième est beaucoup moins évolué et fera prochainement l’objet d’un billet mais sur un autre blog, le premier, OpenShot Video Editor, est un modèle du genre. Son auteur, Jonathan Thomas, décrit carrément son parcours pour créer son programme (choix languages, EDI, binding, Framework vidéo, ….) ainsi que les difficultés auquel il est confronté. Inimaginable et quelle richesse d’enseignement puisqu’il s’agit pour son auteur de son premier programme sous Linux dans Linux pour Linux.  De plus ce projet est codé en PyGTk, le language que j’apprends à utiliser et est initialement basé sur le fantastique Framework multimédia Gstreamer. Ce type de projet dans mon domaine de prédilection m’a amené à disséquer son blog et son parcours. Je ne pouvais pas ne pas partager cette découverte. Grâce à Eric Brun, je publiais un article fracassant qui fit l’effet d’une bombe dans la blogosphere linuxienne, le choix du blog n’y étant pas étranger puisqu’il s’agissait de marquer les esprits en présentant le futur éditeur de gnome. J’ai informé son auteur de l’existence de ce billet et ayant des difficultés à installer cette merveille, de fil en aiguille, j’ai fini par réaliser une interview de son auteur, à sympatiser avec lui et même à faire parti de l’équipe. Ma contribution a ce projet à été multiple puisque j’ai réalisé le premier paquet (version 0.94) à l’aide d’un membre du forum d’ Ubuntu-fr dont je fais aussi parti qui a pris le temps de m’expliquer et de faire ensemble la création d’un paquet binaire en python. J’ai aussi fait des tests dans tous les domaines (logiciel, fichier de traduction, deb, wizard, fonctionnalités ?….), créer le 1er fichier de traduction en français puis j’ai continué ensuite sur Rosetta, proposé des fonctionnalités (et pas que pour le logiciel lui-même),   créer de la documentation française (Wikipédia, Ubuntu-fr, Lprod), proposé des dépêchés (Linuxgraphic), réalisé une interview et un article proposé à un célèbre magazine (sans réponse pour l’instant), et bien d’autres choses encore en attendant de replonger dans le code. Le code de Jonathan a l’avantage pour les personnes débutantes comme moi d’être très « lisible ». Certes la majorité des fonctions d’un éditeur vidéo linéaire sont présentes mais je trouve qu’il manque une dernière chose : un  module d’importation de fichiers DV et HDV. Je suis aussi intéressé par les transitions et surtout par les titres, le fait d’être en interaction avec Inkscape est un atout de taille et offre d’énormes possibilités d’exportations. Il y aura d’ailleurs des changements à ce niveau là dans quelques temps. Pour l’instant, la majorité des fonctions d’un logiciel de ce domaine sont implantés. Hormis ceci, ma qualité de scribe m’a valu l’honneur de mettre en place un manuel d’aide avec l’aide d’Helen McCall. Ensemble, nos qualités réunies ont permis la création d’un manuel d’aide en français et en anglais intégrés à Yelp, codé en programmation XML langage Docbook, langage dont nous ignorions l’existence il y a quelques mois à peine. Travail ô combien ingrat et de longue haleines, mais si nécessaire, sera disponibles prochainement pour les futures versions.

Une aventure humaine

Mais plus que ça,  c’est l’aventure humaine qui est la plus gratifiante. Ce n’est pas qu’une augmentation des mes connaissances dans tous le domaines (programmation en pygtk et xml, utilisation de Launchpad, rédaction d’une documentation, création d’un binaire, le rafraichissement de mon anglais, …) le plus important et qui me marque le plus mais le retour des personnes que l’on côtoie dans cette aventure qui vous est apporté. Et pas seulement outre-atlantique et outre-manche. Ici aussi. Le libre a quelque chose de formidable, de magique, devrais-je dire. Toujours par hasard, j’ai rencontré (et je rencontre encore ! ) des gens formidables venant de milieux et de professions tellement différents. Le seul regret que j’ai est de ne pas pouvoir les rencontrées physiquement même si pour certaines d’entre elles cella se fera l’année prochaine. Rien que pour cet enrichissement personnel je suis heureux d’être là et d’apporter ma pierre à cet idéal.

Mais pourquoi un blog me direz-vous ?

C’est une bonne question à laquelle j’ai mis longtemps à répondre. Un site ou un blog ?  A force de rechercher des informations, j’ai acquis pas mal d’expériences et de connaissances que je désire partager. Et comme il s’agit d’un échange en acquérir d’autres, un blog est l’idéal. C’est l’envie de créer et surtout d’essayer de  faire vivre quelque chose, de partager, d’échanger et d’informer mais aussi d’apprendre car ce n’est jamais acquis et dans un sens.

Et pour conclure

Quoiqu’il en soit, c’est tout simplement mes passions, mes hobbies et mes coups de cœurs. Je vous ferai découvrir un monde qui je l’espère, vous plaira comme à moi dans lequel on fait parfois, aussi de belles rencontres. C’est ça aussi le libre, une grande famille.  Bref tout ce qui me fait vibrer et que je suis prêt à partager avec vous.

Bienvenue dans mon monde et dans le libre.